Emmanuelle  

 

 

 

Les formations et expériences qui servent aujourd’hui ma pratique:

  • BPJEPS Activités Equestres: Une garantie de technique et de sécurité pour l’enseignement de l’équitation.
  • BFEEH: Brevet fédéral d’Encadrement EquiHandi et experte fédérale pour la Fédération Française d’Equitation: Mieux connaitre et théoriser ses idées pour former et transmettre. 
  • DEA de Parasitologie Tropicale: Un mélange de curiosité et de rigueur. Le goût de la recherche …
  • DU d’Ecologie et études d’Anthrolopologie au Québec: S’ouvrir à l’ailleurs.
  • Maîtrise d’Ethologie: Apprendre à observer.
  • BAFA: Le sens du collectif. Animer c’est donner vie à sa pédagogie.
  • Formation à la Communication Non-Violente: La base, l’Essentiel de toute pratique d’Ecoute.
  • Horse-Boy Method, level 1: Un autre mode d’appréhension de l’autisme.
  • Formation en Hippothérapie, Louvain-la-Neuve, Belgique: Etre soi et laisser l’autre être lui-même en pleine conscience.

Mais encore…

A dix-huit ans je m’accorde une année pour réfléchir à mon avenir et si celui-ci sera dans le monde équin ? Je suis alors embauchée dans un centre équestre un peu particulier puisqu’il se veut avant tout un centre d’équithérapie crée au sein d’un hôpital psychiatrique. Cette expérience est des plus intéressantes mais j’ai trop envie d’en apprendre encore sur d’autres milieux, m’ouvrir à d’autres perspectives. Je décide alors de retourner aux études. Six ans plus tard, un DEA de Parasitologie Tropicale en poche et une année de césure au Québec, je pars, sac au dos, rouler ma bosse sur les chemins d’abord d’Amérique du Sud et des Caraïbes, puis de l’Inde et de l’Asie Centrale, afin de goûter à d’autres saveurs moins théoriques et plus lointaines …

De retour en France quelques années plus tard, j’opte pour l’enseignement. D’abord en lycée agricole puis très vite en instituts spécialisés (IME et ITEP). Enfin, les quatre murs de la salle de classe ne me suffisent plus, je me pose alors cette question: « Que pourrais-je apporter sans compter à ces jeunes ? Quelque chose qui viendrait du cœur et nous rendrait à tous notre liberté, c’est à dire notre pouvoir d’être nous-mêmes ? ». La relation aux chevaux m’apparaît comme une évidence ! Retour dix-huit ans en arrière, je passe un monitorat, me spécialise, fais les bonnes rencontres et depuis, je n’ai cessé de grandir.

Chaque séance est comme une première séance ; l’état de présence dans lequel me plongent cavaliers et chevaux me permet, en m’oubliant un peu, d’être au plus près de moi-même et de réaliser ce qu’il y a de plus grand que moi en moi : le lien au monde.